Emily dans le métro
Le Vésuve à la Maison d’Emily Dickinson est à l’honneur avec la RATP et le Printemps des Poètes.
Poésie et littératures sans frontières
Maison d’édition de poésie et de littératures créatives fondée en 2021 par Françoise Élian, notre ligne éditoriale se déploie à travers les expériences de traduction, les explorations du féminin et la mise en lumière des langues rares et des cultures sous-jacentes.
Nos trois collections
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TRANS ⎜Le voyage en langue natale
Cette collection propose des recueils bilingues. L’intention principale : donner à voir la traduction comme champ d’expérimentation et d’expression artistique. Re-traductions d’auteurs classiques et nouveaux procédés linguistiques forment le socle de cette collection.
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Griffe
Griffe est notre collection de poésie contemporaine dédiée à l'exploration du féminin.
Pluridisciplinarités et traversées singulières de l’intime : des textes à l’écoute, accessibles à tous, levant avec sensibilité et acuité tabous hérités, non-dits et fragments oubliés.
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Tapage
Tapage est notre collection grand format, mettant à l’honneur les langues rares et les cultures sous-jacentes.
Sans hiérarchie dominante, textes originaux, traductions et images sont disposés à front renversé pour faire émerger et retentir ce qui se trouve à la source.
Nos auteurs à l’honneur
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Les Cendres d'Alfonsina Storni par le Monde Diplomatique
« Debout, poignard à la main, la louve se tient face à l’ennemi, prête à défendre l’enfant, elle-même et ce qui viendra… C’est ainsi, en la paraphrasant, qu’on imagine l’Argentine Alfonsina Storni. (1892-1938). Mère à 20 ans, elle signe son premier recueil de poésie en 1916. « Passée par le tamis de toutes les douleurs », elle a fui le troupeau pour gagner la montagne et défend sa liberté devant les « brebis » qui jugent immorale celle qui n’a jamais donné un père à son fils. Alfonsina Storni s’inscrit d’emblée dans le mouvement d’émancipation féminine surgi en ce début de XXe siècle sur le continent... »
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La Lettre à Xenos de Catherine Peillon vue par Rodolphe Perez, Les Imposteurs
« Si on ne lit pas la Lettre à Xenos de Catherine Peillon pour son épanchement goethien à la déploration si romantique, on y reconnaîtra cette puissance si évocatrice du mot « relation. » Après tout, qu’est-ce qu’une relation ? Ce lien qui me tient attaché à l’autre, qui m’appelle à lui. Mais ce n’est pas seulement ce monologue, c’est aussi et surtout cet espace qui s’institue entre nous à la faveur de ce lien, ce lieu à nous, itinérant, toujours étranger au monde et pourtant là, cette temporalité qui, parfois même dans l’absence, nous demeure une terre hospitalière. »
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Sans-manteau de Paola Soto vu par Loraine Bazalgette
« Sans-manteau, c’est l’écriture d’un amour qui s’éteint, enfin non, d’un amour incandescent privé d’oxygène. L’oxygène c’est l’autre, l’autre a pris son pardessus et a disparu au coin de la rue. Il n’est plus là mais il s’inscrit partout.
Dans un style à la fois fluide et rythmé, percussif et obsédant, Paola Soto écrit l’amour qui reste à quai. Poétesse vénézuélienne magnifiquement traduite par @francoise.elian, on entend parfois la voix de Marguerite Yourcenar résonner. »
Nos événements
Mercredi 26 mars à 19h15
Vieille Petite Fille de Juliette Riedler
Lectures croisées de CÉCILE A. HOLDBAN, JULIA LEPÈRE, JULIETTE RIEDLER et JOHANNES KÜHN par son traducteur Joël Vincent
Librairie Le Neuvième Pays, Paris 6e
Dimanche 30 mars à 16h
Rimes Contact
Rencontre entre Marie-José Pillet, artiste plasticienne et Julie Grollier poétesse et physicienne, autrice de (peau).
Atelier Zéro Un, Paris 12e